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Festival de Cannes: Maïtena Biraben contre la présence de Michel Denisot au Grand journal ?

Maïtena Biraben, sur le plateau du Grand Journal, le 24 mars 2016.

Maïtena Biraben, sur le plateau du Grand Journal, le 24 mars 2016. - Martin Bureau - AFP

L'ambiance serait tendue au sein du Grand Journal. Selon Europe1, Maïtena Biraben refuserait dans son émission, la pastille sur le festival de Cannes de son confrère Michel Denisot.

Maïtena contre Le Grand Journal? Les relations seraient tendues au sein de l'émission, entre Maïtena Biraben et les équipes de production, selon Europe1. Le Festival de Cannes et la présence réduite de la chaîne sur le Croisette cette année cristalliseraient le conflit, exacerbé par des audiences en berne.

Canal+, qui a connu des jours meilleurs, a décidé de ne pas envoyer l'équipe du Grand Journal sur la Croisette. Pas de grand raout sur la plage du Martinez, donc, mais une quotidienne animée par Michel Denisot, et diffusée en deuxième partie de soirée, en crypté. L'animateur devrait également signer une pastille de quelques minutes, diffusée elle, pendant Le Grand journal.

"Une espèce de marâtre fâchée"

Une pastille qui ne passe pas, assure Europe1. Maïtena Biraben ne voudrait pas en entendre parler dans son émission et aurait "entamé un bras de fer avec la production". Si ni l'animatrice ni la chaîne, sollicitées par les journalistes d'Europe 1, n'ont souhaité réagir, la tension a pu se sentir au cours des derniers jours, sur le plateau du Grand Journal.

A tel point que l'animatrice a dû faire une mise au point mercredi, pour couper court aux rumeurs qui entouraient son absence de l'antenne après un "couac", le jour de la mort de Prince.

Déclarant: "Je suis un peu sidérée, on a pu lire que j’avais été mise à pied dans la chaîne, je le démens, la chaîne aussi. (...) Il a été dit que je serais comme une espèce de marâtre fâchée contre mon équipe après l’émission du décès de Prince. (...) Ça n’existe pas quelqu’un qui ne retourne pas faire son travail parce qu’il s’est engueulé avec sa rédaction".

M. R.