Infidélité : quelles sont les limites à ne pas franchir ?

Avec l'apparition des beaux jours, notre libido augmente. Même pour les couples, cette saison est synonyme de tentation. On pourrait alors se demander où commence l'infidélité et quel est le point de non retour.

Une enquête a déjà démontré que les régions les plus tentées par les relations extraconjugales étaient l’Ile de France, Rhône-Alpe et PACA. On sait également que certains signes astrologiques ont la trahison plus facile que les autres, notamment les Sagittaires, les Gémeaux et les Béliers. Et surtout, on sait que chacun a sa propre vision de ce qu’est l’infidélité.

L'infidélité passe d'abord par les sentiments

L’enquête eDarling vient d’ailleurs confirmer cette théorie. Une série de questions ont été posées à un groupe de 743 célibataires, composé à 49% d’hommes. Ainsi, le sondage révèle que le rapport sexuel n’est pas spécialement considéré comme la pire des "tromperies". Il est certes considéré par 53% des répondants comme une infidélité, mais 47% d’entre eux trouvent que tomber amoureux est un pêcher bien plus grave. 

27% des interrogés considèrent alors que le simple fait de dialoguer par messages personnels (email, SMS, etc.) avec quelqu’un autre que son partenaire c’est déjà passer le cap de la trahison. De la même manière, éprouver des sentiments naissants pour une personne étrangère à son couple, sans passer à l’acte, constitue déjà une infidélité.

Une personne sur trois considère ainsi que l’infidélité passe avant tout par les sentiments. En partant de cette idée, il est normal de constater que 14% d’entre eux pensent que l’infidélité commence dès que des sentiments amoureux apparaissent, et ils sont le même nombre à considérer que l’action de penser à quelqu’un d’autre c’est déjà trahir. Les autres sont plus tolérants (27%), et pour eux embrasser ce n’est pas encore tromper.

L'acte de pardonner

On est cependant plus sévère quand il y a eu rapport sexuel que quand la personne est tombée amoureuse (47%). Ainsi, 57% de la gent masculine trouve que la tromperie avec rapport sexuel est moins pardonnable, contre 51% chez les femmes.

Grégoire Provost pour BFMTV